Les erreurs concernent la plupart des investisseurs. Certains sont difficiles à éviter, comme garder trop longtemps un gain. On peut échapper à d’autre si vous savez quoi chercher, comme attendre trop longtemps pour commencer à investir ou mettre trop d’œufs dans le même panier.
Ensuite, il y a les erreurs plus subtiles qui rongent le portefeuille au fil des ans, comme les termites. Voici quelques-unes des erreurs les plus courantes et les plus insidieuses que les investisseurs peuvent commettre.
Suivre l’évolution du marché
La plus grande erreur que les investisseurs puissent commettre est d’essayer de synchroniser le marché. Les spécialistes pensent savoir mieux et donc savoir quand entrer sur le marché et quand sortir. Les recherches montrent que même les professionnels qualifient très mal les hauts et les bas. Il est donc préférable que les investisseurs ordinaires s’en tiennent à un plan à long terme et résistent à la récession plutôt que d’essayer de chronométrer le marché.
Ci-dessous une vidéo expliquant le fonctionnement du marché financier :
Des contributions périodiques sur chaque chèque de paie ou versées mensuellement peuvent aider à lisser les rendements d’un investisseur. Investir automatiquement des sommes égales signifient acheter plus d’actions lorsque les prix sont à la baisse, moins nombreux quand ils sont à la hausse.
Ignorer l’inflation
La plupart des investisseurs savent que l’inflation se nourrit au strict minimum, mais il est facile de l’ignorer, surtout si vous n’êtes pas là à la fin des années 70 et que l’inflation future est inconnue. De nombreux investisseurs examinent leurs projets d’investissement et ne considèrent pas qu’un dollar aujourd’hui ne sera pas équivalent à un dollar demain.
Jouez donc la prudence. L’inflation est en moyenne de 3 % par an sur de longues périodes, c’est donc un bon chiffre à saisir dans votre calculateur de retraite. Une fois à la retraite, appliquez la règle des 4 %, ce qui signifie que vous prenez 4 % pour couvrir vos frais de subsistance la première année.